COMMENTAIRES BA RETOUR 2 BILAN PMADRYN UN MAXI TRIANGLE BLANC AU COEUR BLEU OU 5 SEMAINES D'ETE EN HIVER PATAGONIESQUE
BUENOS-AIRES, un triangle bouclé du 28 août au 30 août à l'aube Hôtel La Querencia de Buenos-Aires B&B - 150 pesos - OK++
www.laquerenciadebuenosaires.com Caractéristiques
Petite structure de 4 chambres ouverte cette année, donc tout est neuf, située en bordure de San Telmo. Chauffage individuel, ordinateur, petit déjeuner continental. Maison en fin d'aménagement (patios à meubler et terrasse du toit à terminer). Cela donnera un ensemble fort plaisant pour un séjour reposant. Points + La taille des chambres, la disponible sympathie de Yann le propriétaire français, la localisation permettant d'aller à pieds dans San Telmo et ailleurs si vous aimez marcher, l'excellent rapport qualité/prix. Points - Le quartier et la rue, sont en cours de rénovation globale, donc pas encore très fréquenté, même si la seule piste cycliste de la ville passe devant la maison. Samedi 28 août - Les idéaux degrés en confiteria Le bus vient nous chercher à 8 heures, ce qui nous laisse le temps de prendre un bon petit déjeuner, d'admirer une dernière fois les pépettes et le chantier en face de l'hôtel. Nous nous arrêtons dans 2 endroits pour prendre d'autres passagers et mettons 45 minutes pour aller à l'aéroport de Trelew. La compagnie Andes atterrit directement à Puerto Madryn mais ne vole pas le samedi, du moins à cette époque de l'année. C'est un petit aéroport assez neuf avec toutes les commodités nécessaires aux touristes: location de voitures, distributeur de billets, cafétéria, exposition... Nous décollons à 10h25 après nous être acquittés d'une taxe d'aéroport de 17,5 pesos par personne. En arrivant en proximité de Buenos-Aires nous prenons une bonne claque de pollution. La ville est recouverte d'une épaisse couche de brouillard et/ou fumées polluées. Beurkkk, cela donne envie de repartir immédiatement !!! L'atterrissage se fait à 12h40. Peu avant notre départ, nous avions été contactés par Yann, un français venant d'ouvrir un hôtel type Bed and Breakfast. Nous n'avions réservé aucun hôtel pour le retour, nous attendions de voir sur place comment cela se passerait avec l'hôtel choisi à l'aller. Sa proposition tarifaire nous paraissait des plus intéressantes et nous avons opté pour tester ce nouveau venu dans la gamme des petites structures à Buenos-Aires. Il nous a envoyé une remise qui nous fait passer par l'autoroute et les quartiers pauvres près de Retiro, 50 pesos. C'est toujours stupéfiant de constater qu'à quelques mètres, il y a de superbes piscines visibles d'avion et des favelas construites de bric et de broc (j'ignore le mot en espagnol). Notre premier réflexe, en arrivant devant la maison, est de nous demander si c'est bien là. Rien n'indique qu'il s'agit d'une structure hôtelière et la rue et le quartier nous font une impression moyenne. Toutefois, lorsque la porte s'ouvre on pénètre dans un cadre des plus attractifs: deux patios en enfilade dans des tons pastels bleu/lavande et jaune. Cela sent le neuf et l'envie de faire beau ! Bonne impression sur la taille de la chambre et sa décoration, il y a de la place pour poser les sacs et circuler. Chaque patio donne accès à deux chambres de tailles diverses pour 2, 3 ou 4 et l'ensemble est clos par un espace cuisine, salle à manger au rez-de-chaussée et salon/salle d'ordinateur au premier. La maison est encore en travaux, à l'étage se dessine l'appartement du propriétaire et une belle terrasse permettant, à terme, d'organiser des soirées barbecue... Yann nous invite à boire un café et nous échangeons sur son installation en Argentine. L'angine ne veut rien savoir et a même décidé de passer à la puissance supérieure donc il va nous falloir, aussi, passer à la puissance supérieure... Je pars me promener dans les rues de la capitale, en allant vers le bout de la rue Lavalle avec deux objectifs: trouver des antibiotiques et repérer l'emplacement de la Confiteria Ideal. Cet établissement, j'en rêve depuis longtemps. En y allant, je vais aller à la rencontre de certains de mes ancêtres passés par là dans les années trente, je vais mettre mes pieds dans leurs traces, un peu comme à Mexico ou à La Havane. D'eux, nous n'avons pratiquement aucun souvenir matériel si ce n'est quelques photos. Je raconte leur histoire, parmi d'autres, dans mon roman en gestation et dont j'ai mis les premières pages en ligne sur ce site. J'espère pouvoir aller au spectacle ce soir et pour cela il faut que l'angine perde la bataille !!! Je marche sur les bords de la 9 de Julio jusqu'à l'avenue Corrientes. Il y a une course cycliste sur toute la partie centrale de l'avenue. Un petit tour dans quelques magasins, un passage à la Confiteria pour apprendre que nous pouvons venir le soir même à 20h30, sans réservation et une pharmacie qui me vend ce dont nous avons besoin. J'allais oublier un stop goûter pour un gigantesque gâteau accompagné d'un jus d'orange. Quelques heures plus tard, les médi-mollécules ont fait leur travail et nous pouvons aller confiterier. Deux stations de métro et nous voilà au coin de Suipacha. Nous optons pour le spectacle avec dîner à 190 pesos par personne. Nous sommes une vingtaine de spectateurs éparpillés en pourtour de scène. Le spectacle se passe dans la salle du bas, elle n'a pas dû être repeinte depuis les années trente, donc pour marcher dans les traces... je marche dans les traces !!! L'après-midi j'avais visité celle du haut aux peintures plus éclatantes et fraîches, celle montrée dans le jeu Pékin Express. Deux musiciens, deux chanteurs, une dizaine de danseuses et danseurs, un DJ... pour un spectacle authentique, d'un peu plus d'une heure, sans grand chi-chi ni tralala. Le niveau de danse est plutôt bon sans être extraordinaire. Le dîner est correct - entrée, plat, dessert - comme d'hab nous buvons un Chablis de chez Bianchi. Par contre, notre serveur a oublié l'option sourire à la porte ! Les photos sont plutôt mauvaises car il y avait peu de lumière dans la salle. Nous aurions pu rester à la milonga se déroulant dans la salle du haut mais madame Angine ne nous avait accordé que la permission de 23 heures ! A peine sortis de l'établissement, nous tombons sur un taxi. En quelques minutes plus 10 pesos, nous sommes de retour à la Querencia. Une journée tangotidéale
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